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L’épitaphe bleu

Publié: 8 juillet 2014 par jmenti dans nos textes
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Pré-scriptum: Cette épitaphe est la moral, conclusion, fin… D’un de mes contes intitulé un mot d’amour pour sa majesté. Il m’est impossible de l’écrire pour plusieurs raisons mais afin que le lecteur comprenne le contexte voici rapidement le Cadre.

Dans un palais se trouve deux trône un pour la lune l’autre pour le soleil.
Pourtant ce palais abrite bien plus que deux être. Les autres astre occupe donc tous des positions inconfortable.
Devant cette injustice Menti invite au changement mais rien n’y fait le palais s’obstine à n’avoir que deux trône.
Il arrive alors l’histoire très commune des fracas des transmutation « social ».
(Un pied sur l’autre tu paraît plus grand que lui).
Plus l’histoire avance plus la crypte du palais se remplis.
Quand il ne reste plus personne dans le palais est que la crypte est pleine mon contes ce fini la suite étant une histoire bien connus (a vous de trouver).
J’offre donc à un personnage trop mal compris le loisir de se faire un épitaphe.

 » Vous qui vivez dans un palais, entendez mes regrets.
J’ai sentis le vents souffler pourtant je ne suis pas partis.
Voyer mon palais en ruine, il n’y à plus ni musique, ni danseur.
Pas plus que de convive ou de festin.
Seul reste l’Écho des pas de la dernière lune.
Le grincement de la trappe qu’on ouvre.
La trappe qui mène à la crypte.
C’est pas faute d’avoir prévenus que cette descente n’aurais rien d’enviable.
Reniflez l’odeur pestilentielle, comprenez vous de quoi je parle ?
Du passé et ses cadavres.
Si j’ai offert mon trousseau sans omettre de clefs ce n’est pas pour que l’on me juge.
Pourtant au lieu de compréhension on délibère ma mort, le bon et le conforme vienne au galop.
Me punir pour des faute non commise, mon seul tord étant d’avoir été le taulier d’un palais au mur qui entende tout et aux fenêtres trop souvent fermer.

Si vous m’avez compris, avant d’avoir peur prenez la mer. Que dis-je l’Océan !
Laisser vos meuble encombrant, ces bagages de l’exclusif.
Ne prenez que de quoi écrire. Ouvrez la fenêtre, lâcher un pigeon et envoyez vos mots d’amours »